Il est courant, une fois que l’utilisateur reçoit son imprimante d’étiquettes neuve, qu’elle soit thermique direct, transfert thermique, ou couleur, qu’une fois déballée et installée, celui-ci jette le carton et la mousse à la poubelle.
C’est parfaitement naturel et intuitif. C’est aussi une grosse erreur.
En cas d’incident, de gestion de la garantie, ou de quelque autre opération de retour atelier chez le distributeur ou chez le fabricant, sans l’emballage original il est très probable que l’imprimante subisse des dommages liés au transport, à un degré ou à un autre de dégradation.
Le carton et la mousse de protection ont été générés pour résister à ces aléas : secousses, écrasements, vibration, et autres inconvénients liés au transport. Les remplacer par un emballage fait maison n’est qu’illusion de sécurité.
Un distributeur d’imprimantes sérieux n’acceptera pas un retour de la machine qui ne garantisse pas les conditions de sécurité adéquates au transport. La plupart des fabricants mettent à disposition des emballages vides pour s’assurer que de tels envois ont lieu dans de bonnes conditions.
Nous recommandons lors de la réception de plier le carton d’origine pour qu’il occupe le moins d’espace possible, tout comme les mousses, au moins pendant la période de garantie (2 ans pour les modèles thermiques, 1 an pour les imprimantes couleur).
La motivation de se défaire des déchets est évidente. Pour autant, ces emballages ne peuvent pas être qualifiés de « déchets ». L’achat d’un nouvel emballage peut aller de quelques dizaines d’euros à plusieurs centaines.
Nous espérons vous avoir donné un aperçu du fonctionnement du transport des imprimantes d’étiquettes. Si vous avez d’autres questions, nos équipes se feront un plaisir de vous aider.

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